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- jamined 13 vidéos
2 déc. 2015
29 nov. 2015
22 nov. 2015
22 oct. 2015
Femmes. Martine Storti
Le porc, les femmes et le philosophe
Publication: Mis à jour:
Le philosophe Pierre Manent propose, dans son récent ouvrage Situation de la France , un compromis avec les Musulmans, seule manière, selon lui, de créer avec eux « une amitié civique » et de leur donner au sein de la nation française la place qu'ils méritent sans les obliger à abandonner leur être musulman, à la fois de religion, de culture et surtout de mœurs.
Qui dit compromis dit ce qui est négociable et ce qui ne l'est pas. L'une des propositions de Manent est que la République "cède sur les mœurs", qui comprennent par exemple le porc à la cantine et la place des femmes. Sous cet angle, deux interdictions doivent être clairement énoncées: celle de la polygamie et celle du voile intégral. "Pour le reste, les relations entre les sexes sont d'un sujet d'une telle complexité et délicatesse, nous explique ce philosophe, qu'il est sans doute déraisonnable de damner une civilisation sur cette question."
On appréciera la mise à peu près sur le même plan de la question du porc dans les menus scolaires et celle des femmes, dont la "complexité" n'est soulignée que pour mieux la minorer puisque que ce n'est pas cette aune-là qu'on peut juger une civilisation.
Qui dit compromis dit ce qui est négociable et ce qui ne l'est pas. L'une des propositions de Manent est que la République "cède sur les mœurs", qui comprennent par exemple le porc à la cantine et la place des femmes. Sous cet angle, deux interdictions doivent être clairement énoncées: celle de la polygamie et celle du voile intégral. "Pour le reste, les relations entre les sexes sont d'un sujet d'une telle complexité et délicatesse, nous explique ce philosophe, qu'il est sans doute déraisonnable de damner une civilisation sur cette question."
On appréciera la mise à peu près sur le même plan de la question du porc dans les menus scolaires et celle des femmes, dont la "complexité" n'est soulignée que pour mieux la minorer puisque que ce n'est pas cette aune-là qu'on peut juger une civilisation.
Deuxième remarque: est ici reprise la sempiternelle réduction de la question des femmes à un enjeu de mœurs dont la fonction première est de priver l'égalité entre les femmes et les hommes, la liberté des femmes et plus largement leur émancipation, de leur caractère politique, c'est-à-dire un enjeu qui ne concerne pas que les femmes mais qui a à voir avec l'organisation de la cité, avec la démocratie et avec la République.
Plus grave encore, une telle proposition signe l'abandon des femmes musulmanes qui, ici ou ailleurs, hier et aujourd'hui, se battent -quelquefois au prix de leur vie- contre leur assujettissement et pour leur libération. Une libération que bien des femmes ont dû conquérir dans l'Occident chrétien, au fil des siècles, contre leur culture, contre les mœurs en vigueur, et contre la religion dominante. De surcroît, en faisant des Musulmans de France une communauté homogène que nulle différence et nul désir de changement ne traverserait "quant aux mœurs", il légitime le discours qui ne voit dans l'émancipation des femmes qu'une forme de néocolonialisme et d'occidentalisme, et donc pour celles qui s'en réclament, une trahison de leur communauté.
Le philosophe chrétien et conservateur qu'est Pierre Manent devrait prendre sa carte au Parti des Indigènes de la République, à moins qu'il ne préfère ouvrir un séminaire d'études postcoloniales!
8 oct. 2015
16 sept. 2015
گروه بازیگران شهر. جدایی ما بعد از سفر به امریکای جنوبی
-->
جدا شدن ما فاجعه نبود.درین سفر کار گروه چنان در رابطه کاری به حدّ اعلا رسیده بود که هر کدام از ما باید به تجربه های تازه یی دست میزدیم.آربی به چهارسو رفت و کارهای جدیدش در چهارسو بسیار با کارهای قبلی متفاوت بود.و هرکدام از ما رویای دیگری را جستجو میکردیم.
آ ربی رشد و تفاوت بچه ها را میدید. روش تجربی و کاری ما روش هنرپیشه کارگردان و خلاقیت گروهی بود. درین مرحله به وجود آوردن پروژه های دیگر ضرورت داشت اما شرایط مهیا نبود و آربی به پروژه های کوچک پناه برد.
بعد از سفر امریکا پروژه دیگری که آربی از ماهها پیش روی آن کار میکرد ..... سواری در آمد مویش سرخ ..... نوشته مهین تجدد را، دست گرفت . بسیاری از ما این متن و نوع نگاه و کار مهین تجدد را نمی پسندیدیم. من تربیت تئاتری و تجربه کار با بیژن مفید را داشتم. نوع تکنیک کار بازیگر و نحوه کار روی متن و بوجود آمدن رابطه بین بازیگران و در نهایت خلاقیت جمعی برای آنچه روی صحنه بوجود میآمد ، بین اربی و بیژن شباهت فراوان داشت. اما آنچه بیژن را متفاوت میکرد ، نگاه بسیار دقیق به تاریخ سیاسی و اجتماعی ایران ، شناخت بسیار عمیق زبان و ادبیات فارسی و سالهای طولانی کار روی زبان و نثر و شعر بود. من متن تجدد را نمی فهمیدم و دوست نداشتم. اما میخواستم در گروه بمانم . برای اجرای جشن هنر شیراز دستیار کارگردان بودم. نیما مفید فرزند هفت ساله ام در نمایش بازی میکرد . صدرالدین زاهد، سوسن تسلیمی و فردوس کاویانی بازیگران دیگر بودند. کار بازیگران فوقالعاده بود ، اما متن ، کشش و جذابیت کالیگولا و ناگهان را نداشت.
افراد دیگر گروه پرویز پورحسینی،شکوه نجم ابادی، محمد باقر غفاری،سیاوش طهمورث،علیرضا مجلل و سعید اویسی درین پروژه شرکت نداشتند . و هرکدام به پروژه های دیگری روی اوردند و جدایی ها جدی شد. من به طور جدی به سینما پرداخته بودم و گرفتاریهای خانوادگی و مالی باعث شد حتا نتوانم با گروه به نیویورک سفر کنم. آربی بعد از سفر نیویورک با سوسن ،زاهد و کاویانی تئاتر چارسو را انتخاب کرد و رسما دوران درخشان گروه بازیگران شهر به پایان رسید.
به نظر من شرایط اجتماعی و فقدان آزادی بیان و کمبود محافل تجربی ما را دیوانه کرده بود. بچه هایی که نمیخواستند کارگردانی کنند . کارگردانی که بیش از آنها تجربه داشته باشد و روش کاری مارا بپذیرد پیدا نمیکردند. و آنها که میخواستند کارگردانی کنند امکان کار پیدا نمیکردند. نباید فراموش کنیم امکانات کارگاه محدود بود و گروههای دیگر روش متفاوتی داشتند.
21 août 2015
Femme Iran
Un coup d'œil par
Jamileh Nedai. le 08032013
la petit clin d'œil au 2eme partie de Livre Révolte des Femmes iranienne .Mars 1979
Nostalgie de pouvoir, les
grandes mensonges et l'abandonne de Mouvement des femmes.
Impérialisme comme l'objet d'oppression des Femmes.
sans émancipation de
pouvoirs exploiteur colonialistes, les femmes n'émacieront pas.
En lisant ce livre
, le dernier 300 pages, mes commentaires sera mes expériences et mes rencontres
personnel avec les Evénements de mois de Mars
1979. jusqu'a mois de juin 1980.
les femmes comme
moi , il y avait des milliers dans le mouvement. Mais dans ce livre reste
malheureusement quelques-unes.
Bizarrement, nous
les individus no organisé , ( avec nos différences d'analyse et regard) nous parlions de
l'émancipation, l'indépendance, et la liberté des femmes .
Mais les autres
femmes qui étaient organisé dans les parti politique ( qui sois gauche ou
droite ou centriste) parlaient de l'Organisation et pas
d'autres chose.
A mon avis ce
discoure fait toujours de dégât jusqu'a aujourd'hui. "Si tu ne dépend
pas a une tribu , tu n'existe pas.
"
plupart
des partis gauche et droite Iranien n'ayant
été compte de Mouvement des femmes . les faits de ce livre nous montrent
par
exemple page 406
L’attention
que portaient les trotskiste sur les luttes des femmes se basait principalement
sur cet argument qu’ils les considéraient en tant qu’ «alliés » du
prolétariat dans la lutte contre le capitalisme. Leur but consistait à obtenir
l’hégémonie sur "le mouvement des Femmes " et en couper la mainmise des
tendances réformistes.
Comment
? Par le
déplacement de stratégie de la révolution.
– une tendance des trotskistes - "le
parti des travailleurs révolutionnaires"
est arrivé à la conclusion qu’il
faut remplacer "la lutte contre le capitalisme et l’instauration du
socialisme"
par "la lutte contre l’impérialisme"
Ainsi, la lutte pour la liberté et les luttes
pour la démocratie et pour l’élimination des oppressions comme l’oppression de
genres (sexuelles), oppression des minorités nationales et l’oppression
religieuse , oppression de liberté d'expression , et les autres demandes
démocratiques été repoussé à plus tard.
Etant
donné que « la lutte anti-impérialiste » est léguée à Khomeiny qui
est un arriéré, mais (anti-impérialiste) donc, il faut le soutenir.
Les
conséquences catastrophiques ont commencé et les femmes se sont retrouvées
seules !
Le journal « Karegar » "
Ouvrier" dans son numéro daté du 24 Tir 1359. 15 juillet 1981,
écrit :
"Au
séminaire du Centre Towhid (l’unicité)""assemblé islamic" Homa
Razavi a insisté "l’obtention des droits des femmes comme ceux des
autres couches opprimées, est uniquement lié au progrès et la victoire de la
lutte anti-impérialiste." Pour cela, le besoin d’une direction
anti-impérialiste dans le mouvement des femmes, capable de s’engager dans
l’action de plus en plus de sœurs combatives et musulmanes,(islamique), est nécessaire.
Et il faut les organisé par des voies appropriées!
Nous
avons besoin d’un plus grand regroupement des femmes travailleuses et actives,
pour faire avancer la lutte contre l’impérialisme , et il faut attirer et faire
adhérer de plus en plus les « sœurs musulmanes et combatives » à la
lutte anti-impérialiste sous la direction de Khomeiny.
L’unique
réponse a la demande de peuple musulman
est Un Gouvernement de majorité et le gouvernement des conseils des ouvriers et
paysans.
Petit
à petit, la question de l'Egalité sont éliminées de discours de gouvernement et les médiats de pouvoir et les
médias indépendants. !
Le
Mouvement des Femmes Iraniennes Comprend l’organisation indépendante des femmes
est une nécessité. Et commence l’isolement absout des femmes.
Et
par le discours dominant tout les association et unions des femmes
disparaissent. comme tout les demandes qu'on considère démocratiques.
par
exemple Page 512
En
1961 (1340) Mehranguiz Manoutchehrian, une femmes Juriste et député fonde "l’union des femmes juristes"
Objectif
et statuts de cette association:
- Egalité
des droits de la femme et de l’homme ,en droits civiques, droits sociaux et droits
politiques.
-
La création des relations internationales pour des études juridiques sur la
base d’une meilleur compréhension des droits des enfants et une meilleur adaptation des
lois sur la base et les fondements de la déclaration mondiale des doits de
l’homme.
comme
-
la loi de défense de la famille ( code de la famille)
– le droit de divorce
-
droit de garde des enfants ... et ETC
Tout
disparait , la constitution islamique instaure la lois de Charriât comme la
lois de la lapidation des femmes en cas d'adulaire, et la Loi de représailles,
canonique .(Loi de vengeances)
4 août 2015
24 juil. 2015
29 juin 2015
اشباحles revenants de Thomas Ostermeier
Les forces destructrices font toujours leur retour
Par Lorène de Bonnay
Les Trois Coups.com | France Culture.fr
Tous les deux ans, Thomas Ostermeier revient inlassablement à Ibsen. Après « Une maison de poupée », « Solness le Constructeur », « Hedda Gabler »,« John Gabriel Borkman » ou encore « Un ennemi du peuple », il met en scène « les Revenants », avec une troupe francophone, à Lausanne, puis au Théâtre des Amandiers de Nanterre. Un spectacle peuplé d’ombres éclatantes qui perce l’âme comme un « soleil noir ».
les Revenants LES TROIS COUPS © MARIO DEL CURTO
Vivons-nous dans un monde où tout revient inéluctablement ? Sommes-nous tous fêlés par les fautes, secrets et désirs de nos parents, par une société bourgeoise oppressante, par un inconscient collectif indicible ? Le drame familial de Henrik Ibsen a beau s’inscrire dans un xixe siècle historiquement daté où court le mythe de l’hérédité, son sujet n’en demeure pas moins contemporain. Thomas Ostermeier, avec son acuité habituelle, explore, creuse, ces forces de destruction (plus ou moins cathartiques) qui agitent l’âme humaine. Comme il aime à le dire, sa passion actuelle consiste à expérimenter avec ses acteurs des « situations entre les personnages », dans un théâtre intime et esthétique. Valérie Dréville (Hélène Alving) et Éric Caravaca (Oswald) ont notamment été choisis pour leur capacité à revisiter, à exprimer un vécu personnel, afin d’imaginer les situations universelles qui composent les Revenants. Un sacré travail, tout en nuances et en tâtonnements.
C’est justement le jeu des acteurs que l’on remarque dès l’ouverture du spectacle. Ceux-ci entrent silencieusement sur scène, marquent une pause, face au public, avant d’aller s’attabler. Ils s’observent, extirpent des objets d’une boîte – lunettes, pipe, masque, peigne : autant de métonymies d’un être absent. L’un va jouer du piano, l’autre tend un miroir à l’intimité en filmant les visages de ses camarades qui sont instantanément projetés sur un écran. Trois murs noirs, sur les côtés et au fond, encadrent l’espace. Au centre, un cercle tournant constitue le principal espace de jeu. Il est séparé en deux par un rectangle en bois : d’un côté se trouvent disposées la table, les chaises et une maison miniature, et de l’autre, un coin salon. Les regards et la gestuelle des comédiens, comme l’excellente scénographie (plus abstraite que réaliste) de Jan Pappelbaum nous plongent d’emblée au cœur d’un univers trouble et fascinant. S’agit-il d’un plateau où répètent des comédiens ? d’une métaphore de la psyché individuelle ? d’un lieu occulte peuplé d’absents et de fantômes ? d’une image de la création sans Dieu ? En tout cas, une telle liberté interprétative « agrandit » le texte d’Ibsen.
Un monde de revenants
Publiée en 1881, cette pièce en trois actes est longtemps interdite de représentation, car elle aborde les thèmes des maladies vénériennes, de l’inceste, de l’euthanasie, des devoirs imposés par la société opposés à la recherche du bonheur. En effet, elle évoque le retour du fils prodigue dans sa maison familiale, hantée par l’absence paternelle et située près d’un fjord mélancolique. Oswald a été envoyé très jeune dans un pensionnat puis a vécu joyeusement à Berlin et Paris. Le jeune artiste retrouve sa mère, Hélène Alving, qui dirige seule l’orphelinat depuis la mort de son mari. Il redécouvre également la jeune bonne pétulante Régine (interprétée avec brio par Mélodie Richard) – la prétendue fille d’Engstrand le menuisier (joué par le convaincant Jean-Pierre Gos). Un hommage doit être rendu à son défunt père, ce qui amène également le pasteur Manders (campé par un François Loriquet plein de délicatesse) à visiter Hélène Alving. Le retour du fils se trouve donc doublé par le retour du père, dont l’ombre plane sur la maison, et par le retour du pasteur (l’ancien amour d’Hélène). Ces revenants font ressurgir le passé, se dévoiler les secrets et se creuser les failles de l’identité. Hélène Alving, servie par la confondante Valérie Dréville (toujours soucieuse de la juste intonation, du geste précis), est ainsi dévastée par la mélancolie, car elle a renoncé à ses désirs au profit des devoirs imposés par les conventions bourgeoises. Quant à Oswald, il voudrait qu’on l’aide à mourir, car il souffre d’une maladie mortelle. Le texte, daté de ce point de vue, sous-entend que cette dernière est héritée de la syphilis de son père, le coureur de jupons. Mais le jeu subtil d’Éric Caravaca suggère que des forces destructrices plus larges terrassent le jeune homme (la filiation brisée avec le père, la défaillance de sa mère, ses propres désirs incestueux). Les personnages s’apparentent donc à des morts-vivants, et la pièce à un épilogue tendu vers un drame final inexorable.
Le soleil !
Les lumières, la musique, les vidéos, la scénographie, remarquables, contribuent à créer cet univers funeste, ruisselant, noir et blanc. Mais, heureusement, ils le subliment. Les trois murs s’animent d’images de ciels encombrés, de fjords balayés par les vents gris, de cités neutres ou d’oiseaux noirs hitchcockiens. Le plateau, sur lequel s’agitent les personnages, tourne à l’envers, comme une vaste roue de Fortune posée au sol, tandis que les films défilent de gauche à droite, de façon linéaire. Comme si le Temps de la Nature était indifférent aux vicissitudes du temps humain, fait de retours permanents. Les lumières blanches éclairent les corps des créatures qui se meuvent et transforment les fantômes en illusions poétiques. Du coup, le soleil, appelé de ses vœux par Oswald, mais qui a tant de mal à advenir, excepté dans le brasier qui détruit la maison (car « La lumière [symbole de joie, de désir, de bonheur] nous fait si peur ! » confie Hélène), existe sur scène. Dans le regard du metteur en scène et dans le nôtre. Il a beau être voilé dans la vie (et dans l’histoire de ces personnages) par les impératifs de notre univers bourgeois et individualiste, il éclate dans ce spectacle, comme un beau « soleil noir ». ¶
Lorène de Bonnay
Les Revenants, d’après Henrik Ibsen
Traduction, adaptation : Thomas Ostermeier, Olivier Cadiot
Mise en scène : Thomas Ostermeier
Avec : Éric Caravaca, Valérie Dréville, Mélodie Richard, Jean-Pierre Gos, François Loriquet
Scénographie : Jan Pappelbaum
Dramaturgie : Gianni Schneider
Vidéo de scène : Sébastien Dupouey
Lumières : Marie-Christine Soma
Musique : Nils Ostendorf
Costumes : Nina Wetzel
Assistante à la mise en scène : Elisa Leroy
11 juin 2015
8 juin 2015
8 avr. 2015
19 mars 2015
12 févr. 2015
اطلاعات
« شهرقصه بین سالهای
1343 -1347 نوشته شده . نمایش باگروه هنر ملی و بازیگران نمایش برنامه دوم رادیو تهران
بارها تمرین شده و بعد با نو آموزان آتلیه تئاتر و موسسین آتلیه تئاتر جمیله ندایی
بهمن مفید و بیژن مفید ظبط صدا بوسیله یوسف شهاب . به دلیل سالن رایگان تمرین در ناحیه
پنجم خانه پیش آهنگی وزارت فرهنگ و اموزش و پرورش ، چندین بار در دبیرستانهای ناحیه
پنج آموزش و پرورش و دفعات بسیار در سالن پیش آهنگی اجرا شده است. در جشن هنر 1347پنج
اجرای عمومی . پاییز 1347 سه ماه در سالن بیست و پنج شهریور و حدود شش ماه در سالن
اطلاعات بانوان و چندین سفر به شهرهای جنوب ایران اهواز -مسجد سلیمان- آغاجاری . تنها
نسخه چاپی در انتشارات جشن و هنر و سال1347 . این نسخه را بارها ط بیژن مفید تغییر
داده و هرگز چاپ جدید نشده است » جمیله ندایی
12 فوریه 2015 پاریس .
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